ESPACE CULTUREL LA TRAVERSE

Quand Jules Verne et Arthur Conan
Doyle défient le crime !
1893. Alors qu'Arthur Conan Doyle,
lassé de son célèbre détective, prépare l'assassinat de Sherlock Holmes, une
jeune femme lui demande de l'aider à sauver son frère injustement arrêté́.D'abord réticent, le romancier se
voit entraîné dans une enquête rendue inattendue par l'insistance d'un visiteur
français qui rêve de vivre de « vraies » aventures avant d'être trop vieux :
Jules Verne.
Des docks embrumés de Londres à
la mystérieuse lande de la frontière écossaise, d'énigmes en tribulations, les
deux écrivains vont voyager au pays du frisson, du rire et de l'aventure !

Une épopée sonore qui voit un
tas de déchets prendre l'allure d'un sound system et les sonorités d'une rave
party déglinguée, sans aucune assistance électrique !
Des plots de chantier qui
bavardent, un gros bidon bleu qui marche, des tuyaux magiques géants, une
dangereuse scie passe-partout, des caisses en plastique qui cachent de bruyants
trésors… 50 minutes de concert/spectacle, teinté de clowneries, par deux musiciens
aussi virtuoses que loufoques, qui recyclent les plastiques et font danser tous
les âges sur de la techno sans électricité !

Pour y croire (encore), il faut
être (vraiment) fou !!
Don Quichotte quitte tout, croyant
qu'il peut améliorer le sort de l'humanité. Pour cela il affrontera mille
péripéties imaginaires et la comédie fera parfois grincer des dents… On le dit
fou oui, mais il est seulement décalé. Et cette folie sincère n'est-elle pas
absolument nécessaire ? La norme se chargera de faire entendre raison
à cet infatigable batailleur.
Avec talent, ingéniosité et détournement
d'objet du quotidien, le festin des idiots s'empare de ce chef d'œuvre du 17e
siècle qui trouve une résonnance saisissante avec notre société
contemporaine ! A l'heure des vies vécues virtuellement, quels rapports
l'homme a-t-il finalement toujours entretenu entre fiction et réalité ? Ne
vivre qu'au travers du seul fantasme de sa vie ne fait-il pas perdre pied à
l'homme et sombrer dans la folie ?
Embarquez, en complice amusé, pour
cette folle histoire où vous verrez des ventilateurs se transformer en géants
et des cartons mal assemblés figurer la plus robuste des armures !

Marc est comédien, auteur, metteur
en scène... Et impatient !
Confronté aux écueils de la
distraction constante, aux réseaux sociaux, à ses peurs, il travaille comme un
acharné mais aimerait que les choses aillent plus vite. Et qu'arrive enfin “la
réussite” !
“La réussite, c'est d'aller
d'échec en échec sans perdre l'enthousiasme” disait Churchill et jusqu'ici,
Marc réussit tous ses échecs avec beaucoup d'enthousiasme ! Castings,
tournages, amours ...
Entre prose et alexandrins, sans
jamais se départir de son optimisme, l'Impatient vous embarque dans la
vie d'un jeune comédien passionné de Paris à Avignon, de la France à l'Asie, en
passant par l'Australie...
Mais ce spectacle ne se contente
pas de divertir : il suscite également une réflexion sur la place de l'artiste
dans la société et la quête de soi au sein de ce monde complexe. Qu'est-ce qui
rend le rêve assez précieux pour justifier les sacrifices qu'il exige ?

Shubiao Quartet est né de
la rencontre entre Shubiao, héritier de la tradition musicale mongole et
Vincent Tournoud, chanteur formé à la diphonie dans l'Altaï. Rejoints par le
percussionniste Florent Diara et le guitariste Yoan Richard, ils créent une
rencontre entre le répertoire mongol et celui du 21e siècle
européen.
Leur musique revisite les morceaux
traditionnels des nomades d'Asie centrale, célébrant la nature, la vie
pastorale et les épopées historiques.
Violon galopant, percussions
ancestrales, un chant qui réveille les mondes oubliés et un groupe qui fera offre
des paysages grandioses autant que des émotions profondes à travers les plaines
arides du Gobi, le Mont Khuiten ou même le lac Khuvsgul !!
Shubiao Quartet transporte le
public dans une chevauchée musicale authentique et envoûtante.

Ou comment jouer Richard III avec 3
comédiens en moins de 2h, alors que le texte se joue en 4h et qu'il compte 64
personnages !
Sur scène une table jonchée de
livres et autour d'elle, une femme, deux hommes qui doivent annoncer une mauvaise
nouvelle au public : le spectacle ne pourra pas avoir lieu. Les
interprètes ne sont pas assez nombreux, ils n'ont pu rassembler les moyens que
pour trois…
Voilà le point de départ de cette
plongée, malicieuse et drôle, dans les coulisses de la conception d'un
spectacle. Drôle car, malgré la tournure insensée que prendra leur situation, ces
trois-là ne plieront jamais face aux difficultés successives qui se
présenteront. Et l'on retrouve, avec plaisir, l'espièglerie du très talentueux Grégory
Faive (Le Discours et Pourvu qu'il nous arrive quelque chose)
qui, avec ce nouveau spectacle, convoque la création artistique comme prétexte
pour interroger les relations humaines, la limite ténue entre compromis et
compromission ou notre (fréquente ?) capacité à renoncer sans avoir même
essayé !
Et finalement, l'échec, terrain de
jeu idéal pour une comédie, n'est-il pas une réussite qui se voile la
face ?

L'amour, les pâtes et le vin : la
définition du bonheur pour Adil et Lulu. Mais quand le plaisir de la routine
devient lassitude, ils changent de recette et tentent l'impossible : raviver
leur flamme en ouvrant leur relation. Ce jeu amoureux, d'abord électrisant,
fait trembler les fondations de leur histoire commune.
Quand un désir imprévu vient
bouleverser leurs nouvelles règles, une question brûlante s'impose : peut-on
véritablement se réinventer sans se perdre complètement ?
Voyage à Napoli est une
plongée aussi drôle que touchante dans les contradictions de l'amour moderne,
où liberté et attachement s'entrechoquent comme les vagues sur les côtes
napolitaines.

Un spectacle sur la vie, la
mort et l'amour qu'on se porte les uns aux autres.
Étienne, trentenaire, accompagne
sa mère malade en Suisse pour un suicide assisté. Dans le même temps, il tombe
amoureux de Juliette.
Tandis qu'il balance entre les
premiers "je t'aime" d'un côté et les derniers de l'autre, Annie,
celle qui part, profite avec gourmandise de ses derniers moments de vie.
Pétillant de tendresse, d'humour
et d'émotions, Ceux qui restent est une ode à la vie, un spectacle qui
parle d'amour, de tous les amours, ceux qui nous lient entre parents, amants,
amis, humains.

L'idole des Houles retrace une histoire vraie, celle d'Éric Tabarly. Cet homme simple et humble a porté un amour inconditionnel pour le Pen Duick, son voilier qui l'a accompagné de ses 6
à 66 ans. Certains se souviennent aussi de lui comme navigateur de génie, innovateur, visionnaire, mais c'est d'abord la personnalité et la ténacité de cet homme hors du commun qui fascine, une détermination extraordinaire doublée d'une modestie renversante.
Théâtre, humour, images d'archives projetées sur les voiles du décor, musique et couture en live nous plongent au cœur de cette vie pleine d'anecdotes sensibles, d'aventures nautiques, de vent, d'embruns et de liberté !
La Toute Petite Compagnie livre un spectacle à l'image du navigateur : populaire, touchant, poétique et drôle. Bienvenue à bord !

Simon a 52 ans et depuis la perte
de ses parents, il se sent orphelin. Lui qui a toujours été un fils, il VEUT
devenir père, il est fait pour ça, il en est certain !
Simon débute alors une course
folle et pleine de panache à la recherche de la femme de sa vie et la mère de
ses enfants. Dans cette quête, il pourra compter sur les conseils, plus ou
moins avisés, de Jérôme, qui répond parfaitement à la définition du meilleur
ami : quelqu'un dont on connait les gros défauts et qu'on aime quand même ;
et sur le soutien indéfectible, plein de sagesse et d'humour, de son directeur
de conscience imaginaire, Jean-Pierre Bacri, himself !
Accompagné par une bande son rock
des 80's, Simon tentera de répondre à ces grandes interrogations : C'est
quoi être père ? Le désir de paternité, est-ce que ça existe vraiment ?

23 octobre 1887, Gauguin rejoint
Van Gogh dans la maison que celui-ci loue à Arles.
Avec cette nouvelle création, le
talentueux Cliff Paillé, propose au public de découvrir les hommes qu'étaient
ces immenses artistes et leur cohabitation jusque dans ses aspects quotidiens
les plus communs.
Cette joute haletante s'opère
grâce à William Mesguich et Alexandre Carrez, duo de comédiens charismatique et
incarné et est entrecoupée (d'oreilles qui tombent et nan c'est pour voir si
vous lisiez vraiment ttes les bêtises que j'écris) de projection de certaines œuvres
de ces deux maitres de l'art contemporain, peintes à cette période.
Alors qu'ils imaginaient une
cohabitation à l'émulsion prolifique, ces deux monstres géniaux aux caractères
difficiles, développent une rivalité fratricide qui mènera Van Gogh à la folie.
Le récit de l'oreille coupée de ce-dernier est connu de tous, mais que s'est-il
vraiment passé dans cette célèbre maison jaune ? Comment ce projet de maison
d'artistes a-t-il pu basculer dans la démence ?

Jeune fille, Jocelyne rêvait de
mode et de prince charmant. Mais la vie est passée par là et à 47 ans la
mercière d'Arras doit se contenter d'un mari indifférent et d'un blog sur la
dentelle. Quand un heureux concours de circonstances lui offre le gros lot du
loto, Jocelyne réalise qu'elle a de quoi réaliser tous ses désirs. Mais, cet argent
tombé du ciel lui fait peur : n'aurait-elle finalement pas plus à perdre qu'à
gagner ? Elle décide de prendre son temps avant d'en parler à ses proches et,
en attendant, fait la liste de tout ce qu'elle pourrait s'offrir...
Après "L'écrivain de la
famille", couronné par de nombreux prix (parmi lesquels le prix Pagnol et
le prix Carrefour du Premier Roman), Grégoire Delacourt déroule une histoire
folle et forte d'amour et de hasard. Une histoire lumineuse aussi, qui nous
invite à revisiter la liste de nos envies.

Avec ce nouveau spectacle, le Big Ukulélé Syndicate explore
l'univers du cinéma, de la musique de film… et des pop-corn !
Sur leurs mythiques instruments à 4 cordes, ces 12 artistes,
à l'enthousiasme ultra communicatif, mettent toute leur énergie
pour embarquer le public dans un voyage au coeur des iconiques
comédies, films d'aventure, de romance ou d'épouvante !
En s'inspirant des ouvriers du cinéma sur un plateau de tournage
ou en singeant les acteurs en habit de lumière dans les
festivals de film, les musiciens du Big Ukulélé Syndicate proposent,
avec ce spectacle, une bande son originale et décalée.
Ne manquez pas l'ouverture officielle de la première cérémonie
du Festival de musique de films sous la direction du B.U.S. !