David Linx est l'une des plus belles voix masculines du jazz, à de très nombreuses reprises, récompensé pour son talent (Victoires du Jazz, Académie du Jazz, …) et aux nombreuses collaborations (André Ceccarelli, Paolo Fresu…).
Pour ce projet, le pianiste Guillaume de Chassy a retranscrit les thèmes de compositeurs pour la voix de David Linx qui a greffé sa poésie sur la musique.
Piano et voix sont rejoints par les clarinettes de Matteo Pastorino. (…) Loin de tout conformisme, David Linx, Guillaume de Chassy et Matteo Pastorino projettent les pièces pianistiques des auteurs classiques dans l'époque actuelle… entre jazz et musique classique, entre poésie et réalisme.

DAVID LINX - chant
GUILLAUME DE CHASSY - piano
MATTEO PASTORINO - clarinettes

Durée : 1h15

Ce succès parisien enfin sur les planches des 3T ! Pour tous ceux qui ont aimé le célèbre Dîner de cons... loufoque et savoureux. Courez-y !

Il y a les amis d'enfance, les amis que l'on voit, ceux que l'on ne voit plus ou pas assez, et puis, il y a Charlie, cet ami imaginaire que Daniel a créé pour tromper son épouse, sans éveiller les soupçons.
C'était l'idée parfaite pour ne pas perdre sa situation, son appart, sa maitresse, sa femme... Jusqu'au jour où cette dernière exaspérée et suspicieuse demande à rencontrer Charlie. Paniqué, Daniel demande à un inconnu rencontré dans un bar de jouer le rôle de son meilleur ami Charlie le temps d'une soirée. Est-ce vraiment une bonne idée ?


Production : Théâtre des 3T
Une comédie à 3 personnages de Hadrien Raccah. Mise en scène Gérard Pinter.
Avec : Avec Boris Petitou, Sarah Digne et Patrick Andrieu.

Durée : 1h15

C'est l'histoire d'un immeuble aux humanités chahutées, comme il en existe à coup sûr dans la vraie vie. Il y a d'abord celle que tout le monde surnomme «Tata Paulette», nounou improbable fumant clope sur clope, toujours flanquée de son tonton en fauteuil roulant et qui s'extasie à voix rauque devant tous ces marmots jusqu'à ce qu'une bêtise la pousse à la gueulante.
Le Duff, aussi brillant que son physique est ingrat, promène son hypothétique chien en laisse pendant que Lefebvre ponctue d'un hochement de tête des conversations de tout et de petits riens. Le petit Loudès tague et fourgue beu ou écrans plats en tchatchant à toute blinde un verlan semé de «t'sais».
Au rez de chaussée, M. Pastor assaille les employés de la Poste de questions à propos du «boum» qu'il entend chaque matin à 8h30 alors qu'il déjeune avec son fils, tandis qu'au second, Rabelle soigne ses pensées en insultant sa Solange.
Nichée dans son appartement du cinquième, planant à cent mille, Corinne de Castelbajac, insomniaque délirante, fantasme sur Arthur Schopenhauer, rien de moins.
M. Foch tente de convaincre son épouse des vertus du devoir conjugal, prenant régulièrement sur le nez la porte de la chambre. Et puis il y a Mme Huau, à qui on suspecte un cancer.

Les personnages sont bel et bien sortis du cadre. L'immeuble est leur terrain de jeux avec pour point de rencontre les boîtes aux lettres, ultime bastion. Quelques-uns sont persuadés que c'est en parlant fort qu'on est écouté, alors que d'autres traversent la scène à pas feutrés.

Compagnie 11H11
De et avec : Marc Compozieux
Mise en scène : Valérie Cros
Lumières : Nicolas Poumarc'k
Régie : Grangil Marrast
Diffusion : Audrey Charrière (Association l'Écluse)
Photos : Djeyo (Le Clou dans la Planche)

Alice est entre deux âges : l'enfance et l'adolescence, un passage qui n'est pas toujours facile.
Le spectacle commence, elle est en fuite.
Elle veut oublier une expérience bouleversante qui vient juste d'avoir lieu. Elle se souvient de s'être enfuie par la fenêtre quand M. Charles a tenté de l'embrasser, emportant avec elle son doudou, sa honte et sa peur.
Elle a couru, couru, jusqu'à perdre haleine et a plongé dans ses rêves.
Au fil des rencontres, des épreuves, des surprises, au pays des songes, Alice montrera combien elle est courageuse et pleine d'esprit. Elle apprendra même à maîtriser ses changements de taille et sa confiance en elle ! Elle en ressortira plus forte et affirmée pour affronter la vie réelle.
Les décors s'installent et se désinstallent sous nos yeux. Rien n'est caché et pourtant on se laisse surprendre par des images épurées aux couleurs contrastées. Les voix de la narration et des personnages entourent le public et participent à une partition musicale pleine de sensibilité et de force, à l'image des sentiments d'Alice.

La Cie Les Voyageurs Immobiles
Mise en scène et décors : Magali Frumin
Dramaturgie : Nathalie Pagnac
Regard extérieur, décors et accessoires : Florence Bertagnolio
Manipulation et jeu masqué : Virginie Lallement, Marie De Nazelle & Cécile Fradet
Marionnettes et masques : Virginie Lallement
Scénographie : Magali Frumin, Jérémie Alexandre [supprimer Florence Bartagnolio]
Musique : François Boutibou
Voix off : Nathalie Pagnac (narration), Magali Frumin (Alice), Florence, Rita, Garniouze, Marek, Charlène (les autres voix)
Lumières, régie générale : Jérémie Alexandre
Costumes, communication : Margot Frumin

Coproductions : Le Périscope, Nîmes - scène conventionnée marionnette . MIMA, Mirepoix - festival de marionnette actuelle . Odyssud, Blagnac - scène conventionnée jeunesse . Espace Apollo, Mazamet
Soutiens : DRAC Occitanie, Région Occitanie, ADAMI
Avec l'aide de : Le Kiwi, Ramonville . Service culture St-Gaudens . Marie Le Faget . Théâtre de Castres . Ligue Enseignement du Tarn. Halte Nomade, Aspet

Rythmée, énergique, extrêmement drôle, cette pièce est devenue un incontournable avec ses plus de 100.000 spectateurs. Attention comédie culte !

Après s'être disputés, Patricia et Christophe arrivent à un dîner. Énervée et ne connaissant personne, Patricia est bien décidée à ne pas dire un mot. Ses hôtes pensent qu'elle est étrangère et qu'elle ne comprend pas le français. Patricia décide alors d'en profiter pour pimenter la soirée et entretient le quiproquo jusqu'à faire voler la soirée en éclats... Pour notre plus grand plaisir !

Production : Théâtre des 3T
Une comédie à 4 personnages de Gilles Dyrek, mise en scène Gérard Pinter.
Avec : Claire Balerdi, Hugo Cagliani, Laura Demirdjian et William Vity.

Durée : 1h15

Après un premier album, Elastic Borders - 2019, le trio EMT dévoile son nouveau projet « Streets ». Piano, contrebasse, batterie, claviers et percussions se mêlent pour une musique aux confins du jazz, du rock et de la musique de film.
Des compositions originales ciselées sur mesure, pour un groupe à l'énergie débordante dont le terrain de jeu favori est sans nul doute le live !
Clément, Théo et Etienne se connaissent par cœur et affichent une complicité rare sur scène, qu'ils communiquent à un public toujours plus nombreux et enthousiaste.


Etienne Manchon (piano, rhodes, compositions)
Clément Daldosso (contrebasse)
Théo Moutou (batterie)

Ce projet artistique interdisciplinaire conçu par le chorégraphe Olivier Nevejans et le sculpteur Patrick Lamouroux cherche à créer un trait d'union, provoquer un voyage entre sculpture et danse, entre matière inerte et matière vivante.
Le projet initial s'ancre dans une mémoire commune, dans un passé singulier qui plonge lui-même ses racines dans la Grande Guerre, évoquant toutes les guerres.
La proposition s'articule autour de deux entrées artistiques complémentaires : Une installation plastique et sonore « Les âmes éparses » et une pièce chorégraphique «Ravage».

Émergeant du néant, deux danseurs traversent un paysage imaginaire désolé́.
Dans ce théâtre des combats sont-ils deux, ou seul avec le souvenir d'un compagnon tombé à terre ? Ils avancent et la profondeur du son de la contrebasse les porte dans un inlassable roulement leur donnant l'énergie nécessaire pour aller au bout de leur destin.
Les corps malmenés donnent naissance à une danse de transe et de survie.


Conception : Patrick LAMOUROUX, sculpteur sur métal, Olivier NEVEJANS, danseur chorégraphe.
Création musicale et interprétation : Vincent FERRAND.
Chorégraphie et mise en scène : Olivier NEVEJANS assisté de Claire CAUQUIL.
Sculpture et Exposition : Patrick LAMOUROUX
Danseurs interprètes : Lucien BRABEC, Olivier NEVEJANS.
Création lumière et régie : Fabien LEFORGEAIS.
Photo : Mathilda Lefur
Coproducteurs, soutiens, accueils en résidence :
Conseil régional Occitanie, conseil départemental de Haute-Garonne, ville de Toulouse, ADDA du Tarn, théâtre des Mazades, Toulouse, Le Frigo, Albi, Gare Aux Artistes, Toulouse, Même sans le train.

Durée : 1h00

En se proposant de reprendre des standards de jazz et de construire un répertoire, à la manière d'un Jazz Band, le duo formé par le chorégraphe Nicolas Fayol et le musicien Daniel Erdmann s'engouffrent dans le travail d'élaboration d'un langage musique/danse ou son/image ou espace/temps. Leur désir est de se défaire de toutes contraintes techniques, juste être deux, pour rendre ce travail brut, cru, nu.
Guidé par des morceaux déjà joués mille fois; soucieux de rester dans leur forme ou leur esprit, Nicolas Fayol et Daniel Erdmann les accompagnent prudemment à travers le temps.

Camille Thouvenot est un musicien prolifique et polyvalent issu de la scène Lyonnaise et originaire de Nîmes. C'est autour de ses compositions et d'arrangements que Camille Thouvenot réunit deux merveilleux musiciens Rhône-Alpins : Christophe Lincontang à la contrebasse et Andy Barron à la batterie.
La complicité et l'alchimie est évidente entre ces trois musiciens passionnés autant par le swing que par des jazz(s) plus modernes.
Le premier album « Crésistance » du trio est pensé comme une histoire, il est plébiscité par les critiques spécialisées lors de sa sortie en 2021 avec entre autres la nomination « Révélation ! » par Jazz Mag. Un jazz inspiré et frondeur, inventif et syncrétique, intense et plein de nuance.
Fort de plus de cinquante concerts depuis la sortie de l'album « Crésistance » en 2021, le trio ne cesse de repousser les limites de son répertoire au fur et à mesure des passages sur scène. En 2024 le trio a enregistré son deuxième album « InTriospection » aux studios la Buissonne avec Gérard Deharo. Un groupe à découvrir absolument.

La presse
"Un nouveau pianiste à suivre de près" Fred Goaty - Jazz Magazine

« Un album des plus réjouissants, surprenant d'intensité, qui allie à une réelle fantaisie un sens de la liberté qui n'exclut jamais une maitrise certaine." Sophie Chambon - Les Dernières Nouvelles du Jazz

« Camille nous donne un aperçu de sa large palette musicale, marquée par un jeu véloce, musclé et Inventif, une écriture inspirée et un art singulier de l'arrangement. " Nicolas Hillai - Les chroniques de Hiko

« On découvrira sans doute ici un jeune pianiste, non seulement talentueux mais d'une inventivité étonnante". Michel Arcens - Notes de Jazz

Camille Thouvenot : piano
Christophe Lincontang : contrebasse
Andy Barron : batterie

Un récit sensible qui propose aux specta.teur.trice.s une plongée dans le monde intime d'une petite fille en révolte, de la nuit noire au retour vers la lumière.

L'histoire d'une petite fille, Bouchka, dont le père est encore une fois absent. Très en colère, sa tempête intérieure éclate. Comment cheminer jusqu'à l'apaisement ?

La compagnie Créature revisite ici, avec une grande délicatesse, le sentiment d'abandon en créant un espace qui palpite au rythme des sensations de l'enfant.
Dans ce premier volet du triptyque "L'enfant au sein de la famille" à l'esthétique soignée et très visuelle, marionnettes, masques, décors et lumières accompagnent l'humeur de Bouchka, de la nuit noire au lever du jour.

Lou Broquin traite le sujet avec toute la délicatesse qui la caractérise, et suit le cheminement des états d'âme de Bouchka, des abîmes les plus sombres jusqu'au retour à la lumière.


Production : Cie / CRÉATURE - Lou BROQUIN
Librement adapté de « La lumière de Bouchka » de Rachel Hausfater, illustré par Emmanuelle Halgand (édité aux Éditions du mercredi)
Adaptation / Mise en scène / Scénographie : Lou Broquin Collaboratrice artistique : Odile Brisset
Avec : Nora Jonquet et Ysé Broquin
Masques / Marionnettes : Lou Broquin, Odile Brisset et Michel Broquin - Musique Originale : Christophe Ruetsch - Création lumière / Régie générale : Guillaume Herrmann - Décors : Pierre-Adrien Lecerf et Michel Broquin - Photos : Marc Mesplié
Administration et production : Dominique Larrondo et Camille Gaspar