ANGE

Bywater Call est un groupe canadien de sept musiciens originaire de Toronto, formé en 2017 par la chanteuse Meghan Parnell et le guitariste Dave Barnes. Leur musique puise dans le Southern soul, le blues-rock et le roots rock, offrant une expérience sonore puissante et authentique.
Leur dernier album, "Shepherd", sorti en août 2024, est entièrement autoproduit et explore des thèmes universels tels que l'amour, la résilience et l'expérience humaine.
Bywater Call a reçu plusieurs nominations aux Maple Blues Awards et aux Independent Blues Awards, notamment dans les catégories de l'artiste de l'année et de la meilleure chanteuse. Leur présence scénique dynamique et leur capacité à se connecter avec le public ont été largement saluées.

Pour ouvrir le Peter Alexander Band proposera un tribute au mythique groupe Lynyrd Skynyrd

Le nom de Daran nous est familier depuis déjà longtemps, tout d'abord à titre de meneur du groupe français Daran et les Chaises puis en tant qu'artiste solo.

Il est avant tout l'auteur de 10 albums studio et 1 album live en 26 ans.

“Huit barré“, son deuxième album paru en 1995 le propulse sur le devant de la scène rock hexagonale, grâce notamment au tube Dormir dehors. Album mythique, ressorti récemment chez Warner pour son 30eme anniversaire, dans une édition collector double vinyle avec de nombreux bonus.

Après de nombreuses collaborations avec Miossec ou Yarol Poupaud mais aussi Johnny, Francis Cabrel, Maurane ou Jane Birkin, il annonce en 2025 son grand retour avec un 11eme album “Grand Hotel Apocalypse” .

Daran renoue avec un rock incisif et des mélodies fortes.

Les ingrédients : Une basse, une guitare, une batterie.

La recette : Pas de pédales d'effets, les instruments directs dans les amplis.
11 chansons sur les thèmes de prédilection de Daran : La liberté, les amours perdus, la quête de soi et, surtout, l'humain au centre de toutes les histoires.

Et en live, le succès de DARAN ne démord pas, tant l'attachement du public semble indéfectible depuis toutes ces années !

Les retrouvailles avec son public sur la 1ere partie de tournée (16 dates jan/fev dont 9 “complet”) ont été fortes en émotions et la nouvelle formule “power trio” a ravi les aficionados.

Fasciné par Jeff Buckley et impacté par les sortilèges de John Mayer et Radiohead, JEKYLL WOOD est un électron libre qui transcende les genres et puise ses inspirations dans le chill-rock, la pop-progressive et l'electro folk acoustique à la croisée des univers de John Butler, Ben Howard, Tamino ou Half Moon Run…

Guitariste virtuose et mélodiste raffiné, le songwriter Tourangeau nous embarque dans un road trip intérieur sophistiqué et élégant, balayant tout le spectre de la musique indé.
Mais, il ne se défait jamais d'une vision : celle d'un artiste qui semble voyager à travers les strates musicales, des plus anciennes jusqu'aux plus récentes, des plus viscérales jusqu'aux plus avant-gardistes.
Il en résulte des chansons accessibles, exigeantes et ultra mélodiques, comme si elles éloignaient, avec intelligence et talent, la division, parfois artificielle, entre underground et mainstream.

OUVERTURE DES PORTES : 20H

Le trio basé à Anvers, en Belgique (Ruben Block, chant et guitare ; Paul Van Bruystegem, basse ; Mario Goossens, batterie) s'est bâti une solide réputation à travers l'Europe, les États-Unis et le Canada grâce à leur puissance et leur esthétique aiguisée.

Avec leur premier album éponyme (2004), What Grabs Ya (2008), All This Dancing Around (2010 - Disque de Platine) et By Absence of the Sun (2014 - Disque d'Or), ils sont devenus l'une des figures de proue de la scène rock. Leur reprise impromptue de « I Follow Rivers » de Lykke Li est devenue un succès majeur à travers l'Europe en 2012, et ils ont été invités à faire la première partie des Rolling Stones en 2013 et 2014.

Après quatre albums studio et la tournée massive qui les a accompagnés, il était temps de changer. Avec Colossus (2017), Triggerfinger a voulu ajouter quelques nouvelles saveurs au mélange. Composé au cours d'une tournée, l'album assoit une bonne fois pour toutes leur statut de groupe incontournable.

En 2019, ils ont sorti Tf20 - Vault, en avril, et Tf20 - Live en juin, à l'occasion de leur 20e anniversaire.

Après plus de 8 ans à enflammer les pistes avec La Boum, les Boumboxeurs reviennent avec Boumshakalaka, un spectacle festif et immersif où la culture hip-hop est mise à l'honneur. Entre groove percutant et danse effrénée, cette boum nouvelle génération promet une explosion d'énergie et de partage, réunissant petit·es et grand·es.
Ici, le public est au centre du spectacle : les corps s'expriment, les rythmes s'enchaînent, et chacun devient acteur de la fête ! Le hip-hop y déploie toute sa richesse, mêlant breakdance, beatbox et DJing dans une ambiance survoltée. Beats explosifs, mix électrisant et performances chorégraphiques se succèdent pour un moment à la fois vibrant et fédérateur.
Alors, prêt·e à lâcher prise ? Boumshakalaka vous embarque dans un moment euphorisant, où l'énergie et la joie s'invitent sur le dancefloor.

EIFFEL est le projet Rock de ROMAIN HUMEAU.

Chanteur-Auteur-Compositeur-Multi-instrumentiste et Réalisateur, Romain Humeau a enregistré 12 albums. Hors codes et standards du rock, ses productions protéiformes évoluent dans de multiples registres et changent de peau régulièrement sans jamais perdre le fil des chansons.

Influencé par l'Art-Rock des Bowie, Pixies, Lennon-McCartney, XTC, Talking Heads tout autant que Bach, Brel, un certain rap comme une certaine électro, Beck, Vian, Coltrane, Dépêche Mode, la musique Latino-Américaine, Baroque et Romantique, Eiffel est une [r]évolution permanente.

Près de 1000 concerts en France, Belgique, Quebec et Suisse, fort d'une touchante proximité avec ses fans hardcores autoproclamés « Les Ahuris », Eiffel est un corps concret, sans avatar virtuel.

La Suspendida réécrit l'histoire tragique de María Elena pour lui rendre la dignité qui lui a été
volée et en faire la protagoniste de son propre destin.. Chaque fois que le cas du Dr Tanzler et de
María Elena a été représenté, l'accent était mis sur l'agresseur, et María Elena était toujours
dépeinte comme une victime passive - à la fois dans la vie et dans la mort. La Suspendida
subvertit ce paradigme, déplaçant l'attention du Dr Tanzler pour la placer entièrement sur elle.
L'opéra, une ode à la voix humaine, est une plateforme pour ce qui est trop grand pour la vie.
Il s'efforce de connecter le surnaturel avec le banal, et est le bon médium pour le récit postmortem
de Maria Elena. L'histoire de son voyage à travers le limbo entre la vie et la mort vers la
guérison, jusqu'à son foyer paisible choisi, ne laisse personne dans le public indifférent. Maria
Elena s'épanouit, se donne l'amour et l'attention qu'elle désire, et apprécie pleinement son
potentiel en tant que femme. Elle ne chante pas seulement son nouveau destin, mais s'adresse
également au public - à toute l'humanité - en demandant le droit à la dignité et à
l'autodétermination. Dans cette perspective, le Dr Tanzler est dépouillé du pouvoir qu'il avait
autrefois sur elle et est relégué à la périphérie de la vie de Maria Elena. Ce qui suit sa mort lui
appartient désormais entièrement, et elle détient tout le pouvoir et l'initiative créatrice pour ellemême.
La forme même de l'opéra a une tradition d'émancipation des femmes au-delà de la simple
lecture des intrigues - les qualités physiques de la voix féminine forte et haute ont fait de la “diva”
(littéralement, “déesse”) un élément essentiel de l'art malgré les nombreuses barrières à
l'apparition des femmes sur les scènes mondiales. Il est significatif que “chanteuse d'opéra” soit
considérée comme la première carrière dans le monde occidental où les femmes ont fait fortune
indépendamment - précédant même les vedettes dramatiques. Cette histoire est à la fois
explicitement reconnue dans La Suspendida et intrinsèquement intégrée dans la structure d'une
soliste féminine affrontant toutes les voix du Vide Éternel.